Bien, quelle productivité ! La qualité, c'est autre chose... mais quatre articles en trois jours, ça en fait ! D'habitude, j'écris moins, et mieux. Mais les derniers jours ont été assez mouvementés. L'agonie de mon chat, son décès et son enterrement dans le plus beau coin de nos terres (sans rire, c'est super beau, le soleil couchant rougeoie tous les soirs, la campagne verdoie et le ciel bleupastelloie, on y mourrait bien) ; et l'envie de chantonner pour penser à autre chose... tout ça a grandement stimulé mon besoin d'expression. Désolé pour ma violente (et interminable) dissertation sur la mort, j'ai tendance à penser tout haut ce que je dis tout bas. Non, c'est pas ça ?
En plus, j'arrête de fumer, je viens de le décréter. Ne croyez pas que j'ai une volonté de fer, je n'en ai aucune ; mais je suis assez peu victime de l'accoutumance, et je peux m'arrêter facilement : au printemps dernier, je n'ai pas fumé pendant deux mois, sans forcer. Pourquoi j'en parle sur mon blog ? Hé ben le deal, cher lecteur, c'est que si tu me croises avec une clope au bec, tu peux me faire la morale en toute connaissance de cause ! La blogosphère peut donc aussi servir de témoin pour les promesses délicates. Qui l'eût cuit ?
En tout cas, rassurez-vous, je ne ferai jamais la morale aux fumeurs, les pauvres ont déjà suffisamment de galères à venir avec l'augmentation des tarifs et le renforcement des lois anti-tabac. Je ne vais pas me mettre à les regarder avec l'œil moqueur et méprisant du récent converti.
C'est reparti pour la suite.